
Les rames 2044 et 2049 Citadis 302 Alstom, opérant sur la ligne 4, se croisent à la station « Gare Saint-Roch », rue de la République à Montpellier, le samedi 11 décembre 2016 à 14h01. Copyright : Edouard Paris
A la suite de la mise en ligne par tramwaydemontpellier.net d’une info intitulée : « Une moyenne de 15.947 voyageurs par jour sur la ligne 4 entièrement bouclée entre le 2 juillet et le 31 décembre 2016« , le vendredi 6 janvier 2017, le quotidien Midi Libre emboîte le pas et titre dans son édition Montpellier et sa région du mardi 17 janvier 2017, page 2, à la rubrique « La photo » : « Une fréquentation de la ligne 4 largement inférieure aux prévisions« .
C’est sûr que ça ne fait pas plaisir aux édiles locaux et aux cadres de TaM Montpellier 3M, mais ils faut bien qu’ils se mettent dans la tête, notamment ceux qui ont raté le début de l’histoire, que la ligne 4 de tramway n’est que le résultat d’un rafistolage improvisé à la va-vite présenté le vendredi 9 juillet 2010, jour du soixante-douzième et dernier anniversaire de Georges Frêche.
Avec un bout de l’ancien tracé de la ligne 2 entre « Corum » et « Place de l’Europe » , via Les Aubes, déjà peu fréquenté en dehors des heures d’entrée et de sortie des élèves du Lycée Jean-Mermoz en période scolaire, et une section dédiée à l’origine à la troisième ligne de tramway entre la rue des Payroliers et la place Georges-Frêche, via l’avenue des Prés-d’Arènes et la rue de Saint-Hilaire, il était impossible de faire des miracles.
Les deux sections précitées n’auraient jamais dû voir le jour. L’argent investit en dépit du bon sens pour leur réalisation aurait été plus utile à la construction d’une branche de la ligne 1 entre la colonne Saint-Eloi et Agropolis, mais à vouloir une ligne 2, la plus longue de France fin 2006, pour dépasser de quelques centaines de mètres la ligne A du tramway d’Orléans ouverte le lundi 20 novembre 2000, et le réseau de tramways le plus étendu de France dès 2012 au nombre de kilomètres de voies, après mise en service de la ligne 3 empruntant l’avenue des Prés-d’Arènes, le soi-disant visionnaire a dilapidé des dizaines de millions d’euros qui font cruellement défaut aujourd’hui pour financer la construction de la ligne 5.
Info : Edouard Paris
Super, Midi Libre, visite et se documente sur votre site » tramwaydemontpellier.net »
Cela prouve le sérieux de votre équipe… malgré quelques reboussiers qui ont toujours un avis contraire…
Cela prouve que les élus racontent n’importe quoi pour se faire mousser!!!
Comme d’habitude!
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