Un arrêté Municipal n°2015-T345 intitulé : « Arrêté temporaire. Mesures de circulation et de stationnement Rue Jules Ferry et Rue Pagézy« , dont il est extrait ce qui suit :
« CONSIDÉRANT qu’il est nécessaire de prendre des dispositions particulières concernant la circulation et le stationnement des véhicules sur la voie du présent arrêté en raison de l’itinéraire des livraisons de la Gare St Roch et des travaux d’aménagement du nouveau parvis de la gare Saint Roch des Services Techniques Voirie de la Ville de Montpellier :
Arrêté :
Article 1er :
A compter du 02 mars 2015 et jusqu’au 27 avril 2015 inclus, Rue Jules Ferry, dans sa partie comprise entre la place Auguste Gibert et la Rue Pagézy, les taxis ont les emplacements réservés. L’arrêt et le stationnement de tout autre véhicule aux emplacéments réservés sont interdits. Le non respect des dispositions prévues aux alinéas précédents sera considéré comme abusif et gênant et passible de mise en fourrière immédiate.
Article 2ème :
A compter du 02 mars 2015 et jusqu’au 27 avril 2015 inclus, Rue Jules Ferry, dans sa partie comprise entre la Rue Pagézy et la Place Auguste Gibert, la circulation est interdite. Toutefois, ces dispositions ne sont pas opposables aux véhicules de secours, de services publics, aux taxis, aux véhicules GIPH, aux livraisons de la gare Saint Roch, aux véhicules assignés aux travaux « EUROVIA » de la réalisation du parvis de la gare et parking SERM, au chantier « ORANGE » et « OCCITANES »‘ ainsi qu’aux usagers du garage au n°16. »,
portait à laisser penser que le chantier d’aménagement du nouveau parvis de la gare Saint-Roch de Montpellier serait achevé le lundi 27 avril 2015 au plus tard, alors que la documentation relative audit aménagement annonçait le calendrier suivant :
– mars 2015 : travaux entrée place Gibert;
– avril – mai 2015 : travaux entrée rue Jules Ferry;
– mai – juin 2015 : travaux accès côté Pont de Sète.

L’intervalle de temps mentionné par deux fois dans l’arrêté susvisé étant écoulé, à partir du 28 avril 2015 tout automobiliste ne faisant pas partie des exceptions susmentionnées et à qui la police municipale ou toute autre force de l’ordre reprocherait de ne se pas se conformer aux dispositions contenues dans les articles 1 et 2, peut désormais rétorquer que celles-ci n’ont plus lieu à s’appliquer sauf à justifier d’un arrêté de prorogation de l’arrêté d’origine.

Info : Anje34 et Edouard Paris