Ce mardi 29 mai 2018, les palissades, qui entourent le chantier des futures halles de la place Alexandre-Laissac à Montpellier, ont reçu de nouvelles décorations.
De la com’, toujours de la com’ avant que les tags ravageurs ne fassent leur apparition.
- Respirez, soufflez, respirez, soufflez… Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- Dynamiser le centre-ville ? Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- Ici la ville change ! Saurel voit la vie en rose. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- Visuel des futures halles en cours de construction. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- La décoration intérieure des futures halles imaginée par Mona Kim. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- Les structures des futures halles de la place Alexandre-Laissac vues du ciel. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- Bis repetita ! Cette fois-ci sur fond vert pour faire plaisir aux pseudo-écolos. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- 24 étals autour d’un espace convivial. Retenez bien le chiffre. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- Question s’adressant à certains élus municipaux : Combien trouvera-t-on de fleuristes dans les futures halles ? La réponse exacte vous sera donnée au mois de décembre 2018. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- 1880, au cœur de la ville bât le marché rond. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- Ça ne s’appelait pas encore les halles Laissac mais le Marché Neuf. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- Les premières halles Laissac étaient desservies par le tramway. Photo prise le 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- Montpellier en Actions ! Les habitants des quartiers ouest et des communes limitrophes n’attendent que ça. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- On serait plutôt à une troisième vie pour le quartier. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
- Patrick Martin Uzamugura va verser une larme sur la saison 2 des halles Laissac. Photo prise le mardi 29 mai 2018. Copyright : Anje34
Info : Anje34
Je préférais moi aussi le temps de Georges F avec le Président Mégagglo et autres circulades incomplètes. C’était assez compulsif aussi ce qu’on lisait sur le blog, mais plus amusant 🙂
Cher Anje34,
L’honnêteté intellectuelle ne serait-elle pas que l’on présente l’alternative proposée lors de la concertation aux élus pour un euro (1€) puisque l’intégralité de la réhabilitation était pris en charge par deux promoteurs immobiliers qui s’étaient intéressés au projet?
Je n’ai regretté l’ancien ouvrage d’une ingéniosité remarquable que par le désordre économique que sa démolition a occasionné. On observe dès lors les conséquences politiques d’un défaut d’alternance, l’oxygène de la démocratie. N’était-il pas plus utile à la compréhension de nos objections de publier l’alternative en lien ci-contre: https://www.facebook.com/MONTPELLIERA9/photos/a.280024582101376.54364.165903733513462/848901735213655/?type=3&theater
Les aires de stationnement en milieu urbain sont les lieux d’échange entre les citadins et la périphérie urbaine qui fait battre le coeur de ville comme les poumons le sont pour le corps humain. Toutes les politiques qui ont supprimé les aires de stationnement en milieu urbain payent cette gabegie par une congestion de la circulation, augmentation de la pollution de l’air, désertification des centres et des activités urbaines tel que l’aura vécu la ville de Toulouse avant qu’il se révisent leur politique ou devrai-je dire après le règne socialiste…
Dans la pratique, cette politique corrompt non seulement l’économie, mais l’esprit humain lui-même. Refuser la réflexion d’une réhabilitation moins coûteuse et économiquement avantageuse, c’est éroder l’ambition et la réussite qui ont rendu possible le capitalisme moderne et sorti des milliards de personnes de la pauvreté. Le coût environnemental de la démolition est exponentiel sans compter l’impact économique et financier de la démolition d’un ouvrage fonctionnel. Il est à opposer au défaut de budget de la ville d’équiper les écoles de la petite enfance de moustiquaires d’une valeur de quelques centaines d’euros pour les préserver des moustiques tigres qui sont une autre réalité du changement climatique que nous subissons déjà. Demandez aux commerçants des Halles la valeur marchande de leurs commerces avant et après la démolition de l’ouvrage… De nombreuses activités, cabinets d’Avocats, métiers de bouche, magasins d’alimentations et autres activités urbaines sans compter les lieux d’hébergement pâtissent du défaut de stationnement dans ce secteur… mais tout est mis en oeuvre pour masquer la grogne.